Mise en œuvre
Une première approche a été effectuée quelques semaines auparavant avec les nouvelles enceintes MONITOR Audio 3G100. Cela a permis de me forger une idée sur l’approche musicale de ce lecteur réseau-Dac.
Pour entrer dans la vif du sujet du présent banc d’essai, dans un premier temps Lina a été relié directement au bloc de puissance MOON 390 en mode symétrique. Son utilisation s’est effectuée alternativement sans et avec l’horloge séparée. Dans un second temps, Lina a été relié à l’amplificateur MARK LEVINSON N° 5805. dCS a eu la bienveillance de doter Lina d’un réglage de sortie Ligne qui définit finement le niveau de sortie requis (entre 0,2 V, 0,6 V, 2 V ou 6 V) en fonction de la sensibilité du système d’amplification auquel il est relié.
L’application Mosaïc « propriétaire », plutôt intuitive et simple d’utilisation offre les mêmes fonctionnalités que l’écran tactile. Elle prend en outre le contrôle du volume sonore et le réglage fin de la balance.
De toute évidence, les « performances » musicales les meilleures ont été obtenues avec l’utilisation de l’horloge et l’utilisation de l’amplificateur intégré MARK LEVINSON. C’est dans cette configuration optimale que le banc d’essai a été rédigé.
Nature des timbres – capacités d’analyse
Registres aigu & médium
• Yehudi Menuhin & Stéphane Grappelli plays Gerschwin, Berlin, Porter, Rogers, Hart and others
Chez le constructeur Britannique dCS, être perfectible n’est pas une option. Aussi, dans la lignée des autres référence de la marque, Lina est avant tout un produit qui tient ses promesses en matière de couleurs des timbres. C’est aussi une électronique d’une neutralité absolue. Avec son horloge séparée, on gravit échelon supérieur sur toute la bande de fréquences audibles. Dès le lancement du premier extrait, Lina « donne le ton ».
Nous sentons instantanément que ce produit possède la technologie qui favorise l’extension des fréquences les plus élevées. L’écoute des « pièces » de Gerschwin, Berlin, Porter, Rogers ans others adaptées par l’excellent duo Yehudi Menuhin et Stéphane Grappelli incarne toute la finesse de chacun de leur violon respectif.
Attention toutefois, si Lina sait monter très haut dans les fréquences, il ne le fait pas au détriment de la pureté des sons. Lina sait harmonieusement conjuguer fréquences stratosphériques avec douceur. Chez dCS, on sait parfaitement favoriser les hautes fréquences sans pour autant délivrer une sonorité fatigante.
Aussi chacun de ces violons prend une texture « affûtée », un filé soyeux, une couleur boisée et une consonance totalement démunie d’agressivité. Sur la gamme de fréquences élevées, je me suis aussi aperçu que Lina avec un sens de la modulation prononcé. En effet, outre l’école à laquelle appartiennent respectivement Yehudi Menuhin et Stéphane Grappelli, chaque violon « évolue » avec ses propres caractéristiques musicales et un tintement finalement assez différent qui s’entend parfaitement.
En sa qualité d’analyste d’exception, Lina met l’accent sur tout ce qui peut être entendu par l’oreille humaine, telles les nuances, variations, les inflexions, le vibrato des accords et le contact de l’archet sur les cordes. Toutes ces caractéristiques nous sont dévoilées avec une éloquence que l’on ne retrouve pas forcément sur des lecteurs réseau – dac de même catégorie. Il est certain que Lina, et plus généralement l’ensemble des produits associés arborent un « silence de fonctionnement » qui met indéniablement en exergue le contenu des enregistrements dits de référence.
Capacités d’analyse et transparence
• Sonate Kk 87 – Domenico Scarlatti ~ clavecin : Trevor Pinnock
Si Lina se montre « étincelant » sur les fréquences les plus aigües, il a cette particularité assez unique d’aller fouiller en profondeur le contenu d’une « partition » riche en évènements. Il suffit de porter son attention sur le clavecin qui joue en soliste la Sonate Kk87 de Domineco Scarlatti.
La sonorité si particulière du clavecin démontre que cet appareil effectue un travail de résolution élevé permettant d’avoir une audition précise et détaillée sur chaque note, chaque teinte. Chacune d’elle peut être reproduite différemment, conformément à la partition. Lina pointe les différences de tonalités qui en découlent.
La transparence cristalline se matérialise notamment par le jeu du mécanisme du clavecin et plus particulièrement les « attaques » ou l’effleurement du marteau sur les cordes. Mieux encore, le degré de « fidélité » nous fait pleinement bénéficier de la technicité de Trevor Pinnock qui travaille sur sa partition avec l’attention qu’on lui connaît. Ainsi, nous observons comment chaque note est soupesée pour donner une teinte toute particulière en conformité absolue avec la création de Domineco Scarlatti.
Tout cela n’est nullement le fruit de mon imagination : cette description est audible, en conformité avec ce que j’ai pu entendre et apprécier. Par ailleurs, le grain délivré par ce clavecin au tempérament pétillant est très proche de celle d’un instrument écouté en direct. La reproduction se montre fruitée et d’une véracité totalement « confondante ». Ensuite, il émane de cette séquence d’écoute la traduction d’un travail prodigieux sur les harmoniques. L’extinction des fins de phrases est prise en charge avec beaucoup de minutie, de finesse devrais-je même dire. Celles-ci s’éteignent dans le temps et l’espace sans aucune coupure à niveau ultra faible. Cela donne encore plus de crédit à la musicalité. Le détourage de chaque tient carrément d’un travail d’orfèvre.
A l’écoute de cette sonate, Lina réussit la prouesse de donner une âme au clavecin, tout comme Trevor Pinnock a su donner du sens à la musique qu’il nous convie à déguster. Tout cela est d’une flagrance que tout audiophile ou mélomane, un tant soit peu sensible au charme de ce répertoire, pourra spontanément ouïr.
Registre grave
• Ainsi parla Zarathoustra – Ouverture : Richard Strauss ~ Lorin Maazel
Évoquer le registre grave est un exercice parfois délicat. Il ne faut pas confondre la profondeur des notes de musique avec un aspect « enrobé » qui ferait croire à un registre grave extrême.
Le meilleur moyen d’appréhender sérieusement les fréquences graves est de soumettre un appareil au test de l’orgue. Justement, l’Ouverture d’Ainsi parla Zarathoustra qui débute et s’achève par des « nappes » d’orgue est l’extrait tout trouvé.
L’écoute de cette Ouverture me rappelle étrangement le ressenti que j’avais éprouvé lors de l’analyse des enceintes acoustiques RAIDHO TD 1.2. Toutefois, le système étant de gamme plus élevée, il est normal que les caractéristiques aillent un peu, voir nettement, plus loin. Question profondeur, Lina est responsable de cette descente dans des tonalités abyssales que seul l’orgue peut émettre. Sur les débuts et les fins de phrases musicales, j’ai pu observer des soubassements explorés avec un aplomb extraordinaire.
De plus, ces « nappes » d’orgue ne se limitent nullement à une seule sonorité monocorde. On y décèle facilement une foule de nuances attachées aux tuttis de l’instrument. De surcroît, Lina n’a pas son pareil pour différencier cet orgue de la masse orchestrale, qui aboutit un relief hallucinant aux effets très réussis.
La « gestion » du grave passe aussi par les coups de timbales qui viennent ponctuer cette partition largement fournies en informations de tous ordres. Ces percussions nous gratifient de « roulements » consistants, pleins, organiques, précis, bien dessinés et qui, surtout, ont le poids et la matière attendue. Décidément, dans ce test, cette Ouverture préfigure une symphonie qui ne manque pas de distinction !
• Jazz på svenska ~ Jan Johansson
Un piano et une contrebasse, peuvent parfois suffire à combler un audiophile qui ne recherche que la vérité sonore. Le répertoire de Jan Johansson est simplement attachant en dépit de la sobriété de l’orchestration. En compagnie de ce lecteur réseau / dac et de son horloge séparée, ce répertoire révèle d’innombrables informations qui le rendent encore plus captivant.
Si le piano affiche une verve et une rectitude à toutes épreuves, nous serons comblés par le chapelet de sonorités, toutes plus déliées les unes que les autres. Les différentes octaves se succèdent avec un enchaînement méticuleusement organisé. Les notes les plus graves sont reproduites avec une franchise et une assise irréprochables.
La restitution de la contrebasse transforme carrément l’essai. Non seulement celle-ci descend très bas, mais sa lisibilité démontre bien que ce produit a été conçu et réalisé avec un soin murement réfléchi. Il est assez fascinant de pouvoir suivre à la note près la ligne mélodique, le pincement des doigts du contrebassiste sur les cordes de son instrument, et la manière dont celui-ci fait glisser ses autres doigts sur la touche de l’instrument pour plaquer ses accords. Il émane de la table de la contrebasse des vibrations, une densité, une texture physiologique, charpentée inégalées. De plus, pas « un fil de dépasse », pas de trace d’approximation, pas davantage de trace d’embonpoint : la texture feutrée est dégraissée.
Capacités de réaction – dynamique – rigueur
• Meedle ~ Pink Floyd
Bien que ce soit l’amplificateur et les enceintes acoustiques qui donnent le tempo, je me suis rendu compte que la source, qu’elle soit analogique ou numérique avait son mot à dire lorsqu’il s’agit de marquer le rythme et la cadence.
Comme les ingénieurs / développeurs de dCS ont souhaité aller jusqu’au bout des produits qu’ils élaborent, il est incontestable que Lina se hisse en haut du podium des meilleures sources numériques du moment. « Investi » par la mission de convaincre un public hyper exigeant, ce lecteur numérique sait relever absolument tous les défis qui lui sont soumis en matière de réactivité.
Toujours, soucieux de respecter les propriétés naturelles de la musique, Lina n’a pas une vocation démonstrative comme on le rencontre parfois chez la concurrence. En revanche, il prend le « contrepieds » de forme d’écueils ou manque de réactivité qui viseraient à rendre l’écoute monotone.
Par sa rapidité, Lina affronte avec brio, le jeu de la redoutable guitare basse de Roger Waters sur l’extrait One of the Days extrait de l’album Meedle de Pink Floyd. Pas l’ombre d’une hésitation : imperturbable cet appareil « part au combat » pour braver sans faille les frasques de Pink Floyd. Si l’aplomb et la rigueur font partis de son vocabulaire, ils se traduisent par une musicalité au répondant instantané. Les riffs de guitare électriques ainsi que les coups portés à la grosse caisse, à la caisse claire et aux cymbales se matérialisent par une énergie « diabolique ». De surcroît, il n’y a même pas d’utilité à monter le volume sonore pour bénéficier d’une reproduction vive et enjouée. Au demeurant, quel que soit le niveau sonore requis, Lina et les autres éléments auxquels il est associé, « travaillent » en symbiose avec une souplesse et une articulation du plus bel effet.
A noter que dans tous les cas de figure, l’image garde une stabilité inébranlable, tout en préservant la spontanéité de l’expression. Elle se montre imperturbable face aux grands écarts de dynamique et autres montées en puissance. En clair, tout est sous contrôle.
Espace – image et scène sonores
• Naim Sampler N°6
Cet album, à la prise de son remarquable, regroupe un nombre suffisants de styles musicaux et d’artistes différents pour résumer ce dont est en capacité de « fournir » ce lecteur réseau – Dac sur le plan de la spatialisation.
Il n’est absolument pas nécessaire de se positionner en expert de l’acoustique pour se rendre compte de la « générosité » de cet appareil au « grand cœur ». Au même titre que la dynamique, Lina a été pensé pour constituer une interface entre les interprètes et les auditeurs.
Il donne à la musique une image réaliste dans les trois dimensions. Aucune contrainte de vient réduire l’aspect holographique de l’expression. Je me dois aussi de souligner que, secondé par l’horloge maîtresse, Lina décuple la taille de l’image sonore. Ceci a pour conséquence directe de donner un sentiment d’aération accru (bien que sans l’horloge, Lina n’en manque pas pour autant).
Quoiqu’il en soit, avec ou sans l’horloge externe optionnelle, c’est sans contraintes que la reproduction musicale emplit la pièce d’écoute. Lina « brille » par ce côté aéré où chaque pupitre, chaque plan, chaque instrument ou voix soliste, sont clairement identifiés. Leur positionnement au sein de la scène sonore est défini au centimètre près, et c’est finalement très visuel. Les effets stéréo sont magistralement mis en scène. Il n’y a pas de vide au centre de l’espace de l’espace sonore; celui-ci étant tout aussi bien documenté avec un lien « manifeste » entre les informations issues des canaux gauche et droit. Pour notre plus grand plaisir, nous bénéficions de superbes contrastes et reliefs démontrant une liberté d’expression peu commune.
Sens de l’expression – séquence plaisir d’écoute
• Quiet Nights ~ Diana Krall
A l’instar des autres références dCS, Lina doit être considéré comme un instrument de musique à part entière. Il serait toutefois présomptueux de le classer dans la catégorie des « grandes voix » de ce monde. Pourtant, ses aptitudes à reproduire des vocaux naturels sont notoires. Ce n’est pas simplement la voix de Diana Krall que nous retrouvons en sa compagnie, c’est bien plus que cela. Pour ma part, j’ai le sentiment que l’artiste m’accompagnait pendant la séance d’écoute consacrée à son album Quiet Nights.
Sa présence au sein de l’espace d’écoute est incontestable. « Lina et Diana » s’y entendent pour vous faire succomber au charme d’une interprétation singulière. L’ensemble vocal / orchestral est d’une grande sincérité acoustique. Elle commence par un phrasé et une diction de haute « tenue ». L’ambiance chaleureuse, dépourvue de toute forme d’artifice « électronique » contribue à rendre l’expression d’une authenticité sans équivalent.
Pour bien mesurer le degré de perfectionnisme, on oubliera toute trace de sifflantes sur les « S » Ceux-ci ont été totalement gommées, au seul profit d’une voix suave et charnelle. La douceur ne masque absolument rien des détails décelés sur l’orchestration jazz qui accompagne l’interprète. Pour l’exemple, c’est avec un bonheur non dissimulé que d’entendre le frottement du balai sur la caisse claire, tout comme les frets de guitare lors des changements d’accords, les petites percussions qui frétillent çà et là, sans oublier le piano qui, ici, prend une dimension crédible. L’équation entre la justesse des timbres, la neutralité et la fluidité est tout simplement réussie.
• Les Marquises ~ Jacques Brel
Lina a aussi une particularité : celle de nous faire découvrir le monde de la poésie. Ce « petit » Britannique surdoué à bien des égards a été aussi conçu pour capter l’attention de l’auditeur, le faire frémir à chaque instant.
Il est alors impossible de résister au délice d’une interprétation qui vous promènera au gré du vent des Iles Marquises. Lina puise sa « force » sur le principe d’une « communion » entre le chanteur, son répertoire, et l’auditeur. Établir un lien étroit et direct avec Jacques Brel ou d’autres artistes est la principale mission que je subodore de la part de l’équipe de recherche et développement dCS.
L’écoute nous immerge dans l’univers de l’artiste. Elle procure de bout en bout des sensations d’émotions, je me dois de le souligner, rarement atteintes. Sur Les Marquises, l’effet de surprise est total, l’objectif de donner la chair de poule est atteint. Chaque détail vocal et orchestral suscite l’étonnement et, pourquoi pas, une forme d’excitation.
• Balalaïkas Favorites ~ Osipov State Russian Folk Orchestra
Si vous souhaitez obtenir ce frisson de bonheur ultime, celui qui vous fera frémir, Lina est en mesure de vous en donner « pour votre argent ».
Nous n’en sommes même plus à regarder les performances techniques, de jauger la dynamique, de scruter les fréquences, ou de faire une fixation sur le rapport signal / bruit. On écoute la musique, et on se laisse guider par la ligne artistique et le son des instruments dont Lina se charge personnellement d’éclairer la pièce d’écoute. Sur cette suite de thèmes traditionnels, l’ensemble des musiciens a cette singularité d’avoir une existence insoupçonnée. justesse
Être tout ouïe au « déroulé » des Balalaïkas Favorites par l‘Osipov State Russian Folk Orchestra est en enchantement incommensurable. Vous n’avez pas idée à quel point la musique respire, à quel point ce produit « ratisse » large pour illuminer le paysage musical. Il ne se prive pas de mettre un focus sur chaque teinte, sur l’intégralité du contenu de l’enregistrement, dévoilant le moindre souffle, la moindre « graduation » acoustique sans rien occulter. Chaque vibration est immédiatement portée à la connaissance de l’auditeur, d’autant que les réverbérations du lieu de l’enregistrement sont, elles également, perceptibles. La précision d’ensemble est exemplaire : elle va de pair avec le jeu subtilement distillé d’un triangle ou d’un carillon qui s’animent avec majestuosité devant et autours de vous. Nous sommes carrément aux antipodes d’une reproduction aseptisée ou, au contraire, totalement artificielle, comme nous pouvons malheureusement en rencontrer sur les produits d’une certaine concurrence, souvent asiatique – voilà, c’est dit une fois pour toutes !
• Les Égarés ~ Ballaké Sissoko, Vincent Segal, Emile Parisien, Vincent Peirani
En son temps, Léonard de Vinci avait un sens aigu de la beauté, de la perfection et ne négligeait aucun détail. Une de ses citations « Les détails font la perfection et la perfection n’est pas un détail » s’applique sans restriction à ces quatre musiciens qui vous emmènent à bord d’un navire en partance pour un voyage à explorer de nouveaux horizons artistiques. Vous l’aurez deviné, le navire en question n’est autre que le dCS Lina. Cette citation peut être reprise à la lettre lorsque porte son attention sur la justesse et la beauté du message qui est transmis.
Le répertoire de ce quartet franco-malien composé de Ballaké Sissoko (kora), Vincent Segal (violoncelle), Vincent Peirani (accordéon) et Émile Parisien (saxophone soprano droit), vous conduit vers des contrées artistiques où se mêlent des cultures musicales issues d’airs populaires, mélodies traditionnelles d’Afrique ou d’Europe de l’Est et Jazz contemporain. Ce répertoire vous ouvre les portes d’un univers musical totalement purifié, débarrassé de toutes formes de pollutions en tous genres que l’on doit aussi à ce lecteur réseau – Dac de compétition.
Je suis resté attentif, admiratif même, à la manière dont Ballaké Sissoko s’y prenait pour faire sonner sa kora. Avec le concours du dCS Lina, le perlé des cordes délicatement effleurées véhicule un nombre croissants des micro vibrations issues de la caisse de résonance. Le grain typique rend l’écoute palpitante. Autours de cet instrument malien, les autres interprètes viennent allègrement enrichir un message musical coloré : une fresque qui vous parvient avec une spontanéité et une magnifique agilité.
Les phrases musicales émanant du violoncelle, de l’accordéon et du saxophone soprano ont une ligne mélodique distincte du thème principal : elles évoluent comme si chacune d’elles était isolée. Les contrechants et contrepoints égayent ces thèmes aux « postures » chantantes sous la forme d’un arc-en-ciel aux couleurs diablement multiples.
Conclusion :
Des lecteurs réseau – dac, il en existe un grand nombre sur le marché, à tous les prix. Alors, pourquoi dCS Lina ?
Lina n’est pas un simple « diffuseur » de sons numériques. Il incarne véritablement LA musique avec tout ce que cela induit. Cet instrument « parle » vrai. Il endosse le costume d’un compositeur ou celui d’un interprète, il adopte l’enveloppe et la couleur originale des instruments de musique et des voix. Conçu et réalisé avec une attention extrême, il vous fait vivre une expérience qui bouscule les habitudes et / ou les réticences vis à vis de la transition numérique. Il est un investissement pour la vie.
Prix du lecteur : 14.900 € (02/2024)
Prix de l’horloge : 8.200 €